Zombie thérapie

Titre : Zombie thérapie

Auteur : Jesse PETERSEN

Illustration de couverture : Noémie CHEVALIER

Editeur : Milady

Année d'édition : 2011

Prix du livre : 6€

Edition Milady

4ème de couverture :

Pour sauver leur couple, Sarah et David tentent une thérapie. Mais en arrivant dans le cabinet, ils découvrent que leur conseiller est en train de dévorer les clients précédents. Cannibales, passe encore, mais ils sont tous morts et devraient se comporter comme tels... Qui a dit morts-vivants ? Désormais Sarah et David doivent non seulement sauver leur mariage, mais aussi sauver leur peau au cœur d une apocalypse zombie. Quoi de mieux pour échapper à la routine ? Avant elle ne rebouchait pas le dentifrice, maintenant elle laisse des bouts de cervelle partout. Avant il passait son temps à jouer à Resident Evil, maintenant, ça lui sert !

Mon avis :

Premier livre sur les zombies que je lis (enfin, je crois) et ça ne m'a pas déplu.

J'ai bien aimé ce livre mais sans toutefois adorer... Les personnages sont marrants. Sarah et

David forment un super couple même s'ils ne s'entendent pas toujours très bien. C'est ça qui

fait le charme du livre. L'histoire n'est pas mal. L'invasions de zombies, trouver un moyen

d'y survivre,... et finalement en faire son métier !

Ce que j'ai préféré dans ce livre, c'est les petites phrases à chaque début de chapitre. Comme par exemple "N'oubliez pas les mots magiques : Est-ce que tu veux bien buter ce zombie, s'il te plaît, chéri ? Je suis à court de munitions" ou encore "Entrenez de bons rapports avec votre belle-famille. Vous ne pouvez pas savoir si un jour, vous n'aurez pas besoin d'être hébergés pendant une attaque de zombies."

En résumé, j'ai apprécié ce livre sans l'adoré. Et je lirai le tome 2 avec plaisir.

Voilà un extrait :

" Nous nous figeâmes. Lentement, je pivotai vers Dave. Il jeta un coup d'oeil à la porte, puis

reporta son attention sur moi avant de balayer du regard le salon encombré en quête d'une

arme. Avec un sourire grimaçant, il se saisit de la batte de base-ball posée dans un coin, dont

il ne s'était pas servi depuis qu'il avait laissé tomber ses études et quitté son équipe universitaire.

- Un classique des films de zombies, chuchotai-je en souriant. Bien vu !

A mon tour, je cherchai une arme. Mon regard se posa sur notre photo de mariage - la grande

que ma mère avait absolument tenu à nous faire acheter. Une horreur de 27,5 centimètres sur

35 qui nous montrait debout devant l'église sous une pluie de grains de riz. Nous avions l'air

heureux. Nous étions heureux, à l'époque. J'attrapai le cadre et le brandis comme une matraque.
- Très créatif, une fois de plus ! me félicita David."

Livre lu dans le cadre de ce challenge :